lundi 23 mars 2015

Nous sommes tous les victimes

L'histoire d'Incendies se développe dans un contexte de guerre dont origine est la rivalité entre le christianisme et le musulman. Guerres lesquelles on voit dans le livres d'histoire, mais que on le trouve dans nôs temps dont est plus importante défendre le sacré que le sacré de la vie. C'est dans cet contexte où on trouve Nawal, une jeune fille qui tombe amoureux de un réfugié et du lequel ils ont un bébé, né de l'amour, mais détesté pour les autres, pour une société biaisée par ceux qui croit savoir ça qui est bon ou mauvaise; c'est ainsi que Nawal est éloignée de son petit enfant et commence l'histoire de sa recherche pendant plusieurs années.
À la fin Nawal se rendre compte que son petit fils, lequel elle a cherche pendant plusieurs années, il a été son bourreau dans le prison où elle était emprisonnée. Elle a été violée plusieurs fois par son fils, par conséquence elle est tombée enceinte de jumeaux. Après de la morte de Nawal, les jumeaux trouvent son père- frère et lui envoyé des lettre ou Nawal lui dit tout la vérité  
Malgré d'être une ouvre théâtral, le viol est une réalité qui vivent les femmes dans le monde et surtout ici en Colombie. Pendant la guerre que nous avons eu les vrais victimes ont été les citoyens, paysans qui sont obligés de quitter leurs terres par le peur d'être tués par leurs bourreaux, on peut trouver beaucoup de bourreaux ici comme les FARC, les paramilitaires, la délinquance et les mêmes politiques. Dans un pays où le plus important est le bien-être individuel sur le bien-être collectif ça risque de violer les droits des autres. Donc il n'y a pas nécessité de s'alarmer avec une filme comme Incendies, il suffit de regarder autour pour trouver des histoires de haine  et de violence: femmes violées, enfants recrutés, massacres, un peuple incliné par leurs gouvernants et acculés par les armes. Dans un sens, nous sommes tous les produits de la violation et de l’haine, c’est pourquoi que nous suivons la spirale de la haine.


Incendies est une histoire touchante et ce que nous devrions prendre c’est l'amour de Nawal à leurs fils jumeaux et même à son fils-bourreau, est ainsi, nous un peuple consommés par la violence et la haine, nous pourrions apprendre à pardonner, parce que c’est la seule façon que nous allons atteindre une paix réelle.

8 commentaires:

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  3. C'est très intéressant la comparaison que Leonardo fait avec la situation en Colombie. Ce pays a traversé beaucoup de souffrance à cause du problème des trafiquants de drogue et la guérilla et même si la situation est en train d'améliorée au cours des années précédentes, malheureusement, la délinquance commune est un problème qui nous affecte à tous.
    En ce qui concerne apprendre à pardonner, je pense que nous devons d'abord apprendre à être conscient de la situation et cesser d'être égoïste, parce que nous mettant à la place des autres est une bonne façon de comprendre et de pardonner.
    En ce qui concerne apprendre à pardonner, je pense que nous devons d'abord apprendre à être conscient de la situation et cesser d'être égoïste, parce que nous mettant à la place des autres est une bonne façon de comprendre et de pardonner.

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  5. Je suis d'accord, le film est seulemtent une autre histoire tragique, ici en Colombie il y a beaucoup d'histoires qui sont pires.

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  6. Salut Leonardo !!!
    Je suis d'accord avec vous en que dans l’ouvre succèdent choses que ne sont pas loin de la réalité colombienne ; cependant, je ne partage pas l'idée que nous ne devrions pas nous alarmer par les événements que relate le film, depuis le jour qui nous laissons de alarmer nous par le harcèlement commis par notre propre espèce, nous aurons perdu le peu qui reste de bien-humanité.
    Je pense que le « alarme » que nous percevons avec les événements racontées, est l'effet qui nous produit nous reconnaître dans ce domaine ; c'est-à-dire : l'effet d'être... monstrueux...
    D’autre lieux, je pense que partie de la responsabilité politique du cinéma alternatif, est dénoncer les limites et les bords de la nature humaine ; puisque, malheureusement, nous sommes plus « ca » que l’idéalisation du l'homme. Bien a vous.

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  7. A mes yeux faites la relation entre la Colombie et le livre c'est une bonne maniere de montre votre point de vue. Cependant je pense que vous avez exprime beaucoup de details grace auxquelles un lecteur, qui n'avait pas lit le livre avant, ne le va pas vouloir lire jamais.

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  8. Je pense que la relation qu'il y a sur l’œuvre littéraire avec l’actualité dans notre pays, la Colombie, compte tenu des similitudes comme dans le cas de la guerre, la violation et le mauvais traitement envers les femmes et aussi l’incorporation des enfants vers ces conflits, c’est un problématique que nous vivons tous les jours, dans notre cas, le conflits interne et les, déjà soit la guérilla ou des groups criminels et aussi la grande corruption de notre pays aggrave la situation et aide augmenter cette situation et que plus en plus prend vies innocentes.

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