Comme l’objet d’un article s'éloigne de présenter un simple résume, je vous propose une posture critique devant au sujet en question: Incendies. À cet égard, le suivant article a comme finalité : exprimer le contraste (avantages et désavantages) que je perçois à partir des plusieurs formats dans lesquels je peux trouver l’œuvre: Incendies.
Aucun personne dans le monde de la littérature, le
ciné au le théâtre pourrait se soustraire aux multiples sensations
provoquées pour l’œuvre
Incendies en chaque un de ses formats. L’histoire central constitue un
défi au bon gout, dans matière d’histoires que émouvaient à partir de la
reconnaissance, ne seul de la situation sociopolitique des pays d’oriente dans
le monde, sinon particulièrement des bords que suscitent la condition humain.
Oui, Incendies est
témoin fidèle des sentiers extrêmes que parcourt l’âme humaine ; depuis l’amour
qu’implique sacrifier l’existence vécu d’une mère, jusqu’a l’obscurité que habite le cœur du
personne qui viol et tue sans remords. Cependant, dans le rencontre avec l’œuvre,
je dois dire que sa choquant histoire perdre et obtienne divers nuances, à la lumière du format dans le quel
cette est présentée.
Également, si le format cinématographique et la
facilité de l’image recrée, permettent parcourir pendant deux heures une œuvre littéraire,
que bien pourrait prendre un jour en se lire ; le film Incendies perdre des éléments extrêmement
importants dans le cours de ca que l’auteur original a voulu exprimer. Il est,
par exemple, du sacrifice que se fait d’un des personnages secondaires –et ne
pour ca, moins important– : Sawda, amie de Nawal Marwan –personnage
principal de l’histoire–.
A
travers de ce personnage, Wajdi Mouawad exprime la transformation d’une
femme : de la douceur et innocence, à
la méchanceté, le ressentiment et la rancœur… Il est à travers de ce personnage que se
expriment les traces de la guerre dans l’âme d’une femme (pour ne parler pas de
son corps ; puisque dans l’œuvre littéraire, Sawda meurt comme kamikaze
quand se fait part substantiel du conflit).
En effet, si l’intérêt de la littérature et du ciné
est raconter histoires, pas seulement individuels sinon du monde que nous
habitons, l’élimination du personnage de Sawda dans l’œuvre cinématographique
se constitue en une mutilation du héritage sociocritique pour raconter (élément
fondamental dans la compréhension de la guerre comme empreinte en l’histoire
des cultures).
Finalement, je dois dire que je pourrais parler
d’autres éléments vitaux dans l’histoire original et que manquent dans l’œuvre cinématographique,
comme est le contraste entre la signification du nez de clown que Nawal lègue a
son fils dans le moment de sa naissance, et l’interprétation que Nihad le donne
à ce, dans le moment dont il est jugé dans le Tribunal de Justice
International. Dans l’œuvre original, Nawal donne ce nez de clown à son fils
comme un geste d’amour, pendant que Nihad, parle en sa déclaration à propos du
‘geste’ de cynisme et moquerie qu’il l’a confié à cet objet, au interpréter le
comme tel, en absence de la mère qui se l’a donné.
Par fermer ce simple article critique sur l’œuvre littéraire
en contraste avec l’œuvre cinématographique à partir de Incendies, je me permettrai ouvrir vôtres commentaires avec la confession
exprimée de l’affection que j’ai pour les œuvres littéraires ; la quelle
ne veut pas dire que je n’adore pas le ciné, puisque le ciné me semble une
réalisation génial de la civilisation. Cependant, toujours je préférerai la
sensualité, la rigueur, la beauté et l’enchantement avec les quels les écrivains
avaient dessiné avec mots la tragédie humaine.
Luz González Villate
je considère qu'il y a beaucoup de contenu, information et sur tout connaissance dans votre point de veu, cependant pour moi, quand je lis un Blog J'espère une chose plus especifique et plus rapide.
RépondreSupprimerComme j'ai dit avant il y a beaucoup de bonnes choses la mais selon moi le plus important c'est dans le derniere paragraphe parce que la vous avez exprimé qu'est que vous pensez sur le film, et je suis d'accord avec votre point de veu.
Je suis d'accord avec Julio, il y a beaucoup de éléments dans ton article mais différent sujets, je ne vois pas une continuité. Même si je préfère les livres et pas une mise en scène, oui, dans les films il y aura toujours moins de details, de personnages que dans les livres.
RépondreSupprimerLuz, je suis d´accord avec toi dans un chose qui est très importante, le film a quitté Sawda, une personnage essentielle pour Nawal et pour le contexte socio-politique. Dans autre côté l´article doit montre plus des éléments pour mettre en évidence le contraste que tu veux.
RépondreSupprimerLuz, comme toi je préfère toute la richesse d'un livre sans mépriser le grand travail du cinéma. Cependant, à mon avis le film a reflété apropiadamente l'essence de la pièce de théâtre qui est les infortunes et faits démesurés qui peuvent arriver à changer la vie des personnes radicalement en temps de guerre.
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