samedi 21 mars 2015


Personne n'aime autant qu'une mère aime son enfant


En jouant avec les mots, les phrases, le langage cru et aussi le langage poétique on peut confirmer, grâce à cet livre, qu’il n’y a pas d’amour plus grand que l’amour d’une mère.
Une très belle pièce dramatique d'une puissance bouleversante qui raconte, depuis le point de vue de l’auteur, l'horreur de la guerre civile au Liban que se cache derrière les conséquences qu'elle aura entraînées dans la vie d'une femme (Nawal) qui a préféré de se taire et caché toute sa souffrance pour protéger ses petits jumeaux. Le silence a été comme un refuge où son doleur ne peut pas faire mal à ses enfants.
Je n'ai pas aimé au début mais l'intrigue est si riche, foisonnante que j’ai l'impression de voir, d'entendre un roman où la beauté et l'horreur, la haine et l'amour se confondent. La souffrance à laquelle une mère peut s’exposer pour éloigner ses enfants d’une vie pleine de tragédie, et des conflits politiques, sociaux et religieux qu’elle a vécu est incomparable.
Malgré toutes les mauvaises situations que Nawal a eu, situations pleines d’amour et de violence, elle était prête à démontre qu’une mère peut faire n’importe quoi pour trouver son enfant et lui donner une origine et un destin. Mais, aussi, son rôle a aidé à changer la manière comme la femme est vue au Moyen-Orient, parce qu’elle a été capable de bien penser la forme de lutter contre cette guerre sans devenir un bourreau, elle est encore une victime en train de faire justice pour son fils.


Bien qu’une guerre soit si grande pour torture les gens, prendre plusieurs vies, et détruire une ville, un pays, il y a une chose qu’il ne pourra jamais touché : l’amour d’une mère et l’envie d’offrir à ses enfants protection en faisant leur expérience de vie le plus tranquille possible, sans doleur… sans haine.



Ma Camila Achury.

7 commentaires:

  1. Je crois aussi que l'amour d'une mère est inconditionnel et évidemment dans le livre et dans le film se trouve reflétée la lutte de Nawal pour obtenir à son fils et l'acceptation de ses autres deux fils des produits de la violation.

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  2. Camila je suis tout a fait d´accord avec toi. l´amour d´une mère est un sentiments incomparable et on ne peut jamais comprendre le sacrifice qu´ils font pour nous. Mais c´est aussi difficile de comprendre pourquoi Nawal a fait rien pendant que elle était vive, parce que a la fin ses jumeaux savaient tout la vérité.... comme dit la citation "Mieux vaut la dure vérité que le plus doux des mensonges."

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  4. A mon avis, cet article montre le sentiment qui souhaite illustrer l’auteur dans leur œuvre, c’est l’amour d’une mère que sans importer le cas, cet amour est toujours là-bas. Il y a de situation que nous avons raté et que nous n’avons pas présente les conséquences de nôtres faits, aussi il y a des événements de lesquels nous ne regardons pas leur capacité de nous protéger et de nous aider dans tout le temps, sans recevoir aucune, simplement de nous voir grandir a leur côté, c’est leur satisfaction sans le donner intérêt si nous sommes gens de bien ou de mal.

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  5. Salut Camila !!!
    Aujourd'hui, 24 mars 2015, je ne peux pas commenter comme je le voulais, sur le sujet de votre texte: "L'amour d'une mère" ; puisque divers événements actuels de notre réalité colombienne par rapport à quoi signifie "devenir père-mère" (la maltraitance des enfants, prostitution, vente d'enfants,...), font que je dois réfléchir un peu plus, avant de dire quelque chose.
    Cependant, je dois dire que j'ai aimé beaucoup votre texte ; depuis, en plus d’être bien écrit, après d’avoir travaillé l’ouvre théâtral avec vous, me semble que est un essai de plus, de la manière dans la quelle vous avez incarné le personnage. A le long de ce que vous avez écrit, j'ai remarqué que vous avez intériorisé traces vitaux de Nawal, dans sa construction histrionique.
    Le texte reflète comment, pour incarner un personnage, devient nécessaire habiter les coins plus profondes de ces éléments que alimentent les actions –répréhensibles ou acceptables–. Depuis vous ne part pas de la action même, sinon de ca que la motive, en faisant que l’actuation soit plus naturel. Bien a vous.

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  6. Dans votre article il y a une maniere d'écrire que j'adore parce que c'est une maniere metaforique ou formel mais poetique.
    Cependant j'ai esperé une point de veu plus clair sur les differentes situations du livre, vous avez centre vôs arguments seulement dans l'amour et malheureusement vous avez oublié la religion, la guerre ou la violence.
    Finalement je suis d'accord avec votre position de l'amour d'une mere.

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  7. Personnellement je crois que vous avez intériorisé ton personnage à point de défendre ses actionnes, peut-être, vous avez un point de vue un peu plus objectif à propos de Nawal, oui bien sûr évidemment l’amour d’une mère est interminable, mais je pense que on ne peut pas protéger ses enfants si on se tait la vérité.

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