jeudi 26 mars 2015

la guerre crée parfaits mercenaires depuis le berceau

D’abord, cette impitoyable et choquante œuvre littéraire faire allusion à la violence, á la vengeance, à l’importance de l’écrit et le parlé, à la récupération de la mémoire et la recherche de les origines, à l’héritage et a les marques que laisse le vécu, que ce sont succès que nous pouvons comparer à notre réalité et actualité dans la Colombie et dans la majorité des pays, sur tout dans pays sous-développés, par conséquent, les guerres et les conflits indépendamment leurs raisons toujours arrivent á troubler esprit et cœur qui se soumettent volontaire et involontairement, transformant peu à peu la manière d’être et de penser, de aimer et de sentir et de raisonner et de vivre.

En effet, dans l’œuvre, c’est le cas Nihad Harmanni, que étant un fils, il a grandi a côte d’un arme, que son calme était écouter les bourdonnements de ses balles et que son satisfaction était la souffrance et la mort qu’il causait a ses victimes, arrivant à être, sans penser, le bourreau et le violateur de sa propre mère Nawal Marwan  et le père de ses propres frères, les jumeaux Jeanne et Simon Marwan, les fruits d’un indignant inceste, dont malheureusement ses actions sont été provoqués de son immoralité.

Or, les séquelles qui sont produits dedans d’un environnement hostile sont d’une magnitude exorbitant et que grand partie d’entre nous, on laisse sans souffle et muets de regarder de plus en plus faits méprisable qui détériorent éthiquement á la société humain, les faits que nous pouvons voir tous les jours comme le maltraite envers les femmes et les anciens, le recrutement des enfants aux groups armés et le plus relevant est le de prestige et la peu importance au plus sacré, la vie.

En un mot, á mon avis les actions de Nihad et la façon de penser de lui, c’est parfaitement d’un mercenaire, d’une personne assassine qui n’a rien d’estime pour la vie, même pas sa propre vie, pas de sentiment, et aussi comme passe dans le contexte réel un milliard de ces personnages qui sont démobilisent en habitant entre nous et de lesquelles nous ne connaissons pas leur passé et si il y a quelqu’un  types de sentiments ou de la rancune avec eux-mêmes pour leurs faits immoraux, comme Nihad qui a fini étant une victime de sa propre impudicité, pour moi, la guerre est la cause de ses actions, il a agi comme il a grandi, que ce-que pensez-vous ?

Julian D. Orjuela.

mercredi 25 mars 2015

Nawal une mère qui a perdu la guerre


Nawal Marwan est le personnage principal du livre Incendies,  cette livre raconte l’histoire d’une femme qui lutte une grande partie de sa vie par retrouver à son enfant qui a perdu pour avoir pris une mouvais désistions a l’âge de15 ans, pour éviter la honte de la famille.

Au début Nawal est une femme amoureuse et innocente de la vie, au cours des années  Nawal es devenu une victime de la guerre, mais dans l’histoire on peut apercevoir a Nawal comme une femme révolutionnaire et qui recherche justice, la femme que en premier lieu a sortie avec l’espoir de trouver son petit enfant, peu à peu  disparaît, fait conduisant à la vengeance la quel l’amène à connaitre  le vrai horreur.

Au milieu de l’horreur Nawal a réussi, elle trouve le fils que elle a cherché pendant plusieurs années, guerre perdu par Nawal puisque même si Nihad est fils né de l’amour, elle ne lui a pas trouvé de la meilleure manière, car autour de las adversités et conséquences de la guerre Nihad est devenu père de l’horreur après le viol a sa propre mère a donné la vie a les jumeaux Jeanne et Simon, avec les quelles Nawal prend la désistions de  recommencer  sa vie en autre lieu.

Evidemment d’un côté dans la narration Nawal est une femme affecté par la guerre, mais d’un autre coté sont les jumeaux résultants plus affectés que la même Nawal, puisque Jeanne et Simon sont eux qui doivent payer par les erreurs de sa mère et je dis erreurs car bien c’est un fait déconcertant pour les lecteurs, doit être beaucoup pire pour une mère, personnellement je considère que ça ne peut pas être une raison suffisante pour se faire taire la vérité, en plus Nawal fait une promesse a Nihad le jour de sa naissance « quoi qu’il arrive je t’aimerai toujours », alors pour quoi elle ne peut pas faire une promesse a ses jumeaux de « Quoi qu’il arrive je révélerai la vérité » ou quelque chose comme ça, et bien résoudre tout le truc.       

En tout cas on peut justifier a Nawal, car elle a vécu moments très choquantes pendant la guerre, à mon avis Nawal la femme qui chante, héroïne et révolutionnaire, elle a perdu la guerre, sa propre guerre. 

Estefania Ramos Montilla

mardi 24 mars 2015

Nihad le plus aimé, le plus détesté

Incendies étonnante histoire qui raconte la vie d’une mère avant, pendant et après la guerre et bien sûr ses douloureux conséquences œuvre littéraire aimé par certaines, détesté par autres,  où on peut y trouver plusieurs personnages avec une grand variété des problèmes, dont et à mon avis le plus affecté est le  bourreau, Nihad Harmanni ou Abou Tarek, le première fils de la femme qui chante, enfant né de l’amour et centre de mon critique.

Nihad Harmanni dans l’histoire  a l’air d’un homme froid, cynique qui se trouve fière de ses violations, des ceux qu’il a torturé et toué en résumé de sa bêtise, évidement Nihad est un personnage très affecté par la guerre car depuis d’enfant il a vécu sans sa mère, sans un sens dans sa vie, et comme il ne lui a pas trouvé alors à cause de la guerre il s’est devenu la pire personne capable de torturer, touer et violer. Mais que-ce qu’il a vécu pour devenir si mouvais ?

En effet Nihad est le personnage plus aimé pendant tout cette livre plein de drame puisque est la seul personne reconnu comme né de l’amour et aimé par ses parents,  alors que Nawal n’a jamais démontré un peu d’amour a ses jumeaux, ou peut être sa façon de montrer amour est devenu différent après la guerre.

Sans hésiter est Abou Tarek le plus détesté de la narration puisque évidement ce lui qui a violé sa propre mère, dans ce monde plein des personnes, des cultures et des religions, effectivement  la violation et beaucoup moins l’inceste n’est pas bien vu dans le monde entier, en plus la moquerie, le cynisme pour partie de Nihad lui rendre encore plus détestable par le lecteur.


Pour conclure personnellement Nihad est l'un des personnages plus controversés de l’histoire qui montre comme l’environnement  peut changer l’avis d’une personne, et même la vie des certaines et comment quelqu’un peut aussi devenir mouvais au point de touer et vivre comme si de rien.  

Johan Castiblanco 

Est-ce que le désir de punition de Sawda et Nawal est justifié ou non ?

Il y a les personnes qui disent que le conflit de Gaza  a commencé pendent l’époque du David et Goliath qui c’est un battre entre chrétiens  et musulmans et beaucoup des personnes pensent que cette histoire seulement concerne a les livres.  On peut penser que cette tipe de battre ne concernera personne et qu’il n’y a pas raison pour justifier la mort de beaucoup des gens pendent siècles pour en conflit de la religion. Mais dans le livre on peut voir et vivre que quand cette tipe de battre devient personnel c’est difficile de choisir entre le pardon et le désir pour vengeance.  Cependant qu’il y a beaucoup des conflits et peines dan l’histoire Incendie de Nawal, est-ce que on peut justifier le désir de punition de Sawda et Nawal ?

La première preuve que J’ai trouvé dans l´histoire pour justifier le désir de punition de la femme qui chante et la femme qui écrit c’est que les deux femmes ont eu des histoires tragiques. Nawal par exemple a perdu tous sa famille quand elle avait retourné à sa ville en trouvant de son fils et Sawda a dit qu’elle a vu comme sa ville a perdu tout a cause de tortures et morts.

La deuxièmes preuve que j’ai rencontré dans l´histoire de que le désir de vengeance peut être justifié c’est quand Nawal a parlé au m édecin du Orphelinat de Kafar Rayat. Il a dit à  Nawal que les refugies sont arrivés, qu’ils ont pris tous le monde et étaient en colère, qu’ils voulaient se venger parce que ils ont eu beaucoup des événements comme les miliciens que ont perdu trois adolescents parce que les refugiés du camp avaient violé et tué une fille du village Kafar Samira, etc. Cette parti dans le livre est un exemple de que le désir de vengeance est provoqué quand les personnes ne respecte pas les idées des autres.

En conclusion je crois que le désir de vengeance dans ce cas est  justifié pour les deux femmes parce que elles on perdu tous a cause de la guerre et elles vont faire mal a ces qui sont les responsables. Encore à mon avis je crois que cette guerre entre les chrétiens  et les musulmans ne cessera pas parce qu’ils pensent que tous les choses qu’ils ont faites sont personnelles  comme les histoires pendent le livre.


Hazel Leon 

La vie après la guerre

La vie après la guerre


L'histoire de Nawal c’est un des nombreux plongé dans quelques situations de guerre où les personnes vivent différentes situations d'impuissance, de la tristesse, de la haine et de la désolation.

C’est pour ça que je demande : Il existe la possibilité de récupérer ou avoir une vie pleine après la guerre?

Pour bien répondre la question, on peut dire d'abord que le cerveau humain est capable de dimensionner quelque situation et il a aussi une grande capacité de faire croire a chaque personne qu’il est une autre.

En plus, la vie est pleine d'opportunités, des expériences et des émotions qui peuvent conduire une personne à sentir et à vivre d'une manière différente à laquelle est habituée.

De même, le destin n’est pas écrit et chaque personne est capable de le construire au moment de prendre ses propres décisions.

D'autre côté, c'est important souligner que la situation vécue dans une guerre est le manque de pure miséricorde. Il n'y a pas de discrimination des enfants, des grands-parents ou des femmes, il existe seulement la haine qui ne permet pas voir plus loin que la vengeance.

Également, le part plus difficile c’est voir la cruauté en face de vous, c'est oublier et croire qu'il existe un espoir après cela, parce qu'il n'y a pas de temps pour la bonté.

Pour conclure, l'histoire de Nawal montre clairement que, malgré une situation de guerre, c’est possible reconstruire une vie, avoir des enfants, avoir une famille et créer une vie différent à la vécue. Cependant, c’est évident que l'esprit garde des souvenirs qui ne pourras jamais oublier et lesquels la vie, tôt ou tard, va reprocher. 
Les événements qui marquent une personne comme lesquels a vécu Nawal ne seront jamais effacés de la mémoire d'un homme ou d’une femme et ils marqueront toujours le destin que chaque personne choisit.

Elizabeth Flautero A.

L’ironie de la guerre et l’amour



L’ironie de la guerre et l’amour



Le problème avec la guerre et l’amour a toujours vécu, les personnes ne peuvent pas reconnaitre ses différences et aujourd’hui nous ne le trouverons pas. Cependant on parlera de comme dans le livre Incendies c’est possible trouver de l’ironie autant dans l’amour comme dans la guerre.

L’histoire du livre Incendie montre l’amour d’une femme qui a perdu son enfant et par conséquence lutte dans la guerre pour lui trouver ; après d’une longue histoire la mère trouve son fils mais c’est trop tarde, alors c’est le moment où l’ironie entre l’amour et la guerre est plus facile de trouver parce que par la mère ne importe pas quelle choses, bonnes ou mauvaises, son fils a fait, sino qu’il est vivant et qu’il a une bonne vie. L’amour peut briser toutes les mauvaises situations dans la guerre mais l’amour d’une mère peut la finir. 
La littérature et la vie ont centaines d’histoires d’amour et de guerre mais le livre ne montre pas seulement la relation entre les deux, il montre chacun situation séparément et comme ils se peuvent trouver à n’importe pas quel moment. 

Par commencer l’histoire racontée que dans la guerre n’est pas important dans quelle cote vous êtes, sino combien « ennemies » vous tuez ; dans autre cote il montre comme c’est facile de perdre la route et les objectives de la guerre pour commencer à marcher ou pire à tuer sans raison. Malheureusement l’écrivain ne peut pas éviter faire la relation de l’ironie de la guerre dans le livre avec la guerre de la Colombie, c’est facile de trouver qu’autant le gouvernement comme les forces « révolutionnaires » ont perdu l’objective, lequel est, si le lecteur ne le sait pas, offre la meilleur qualité de vie aux habitantes de ce beau pays.

Après pour parler du amour et de sa ironie c’est facile de raconter la situation où Nawal, malgré les choses que son fils a fait, l’a écrit une lettre dans laquelle elle montre combien d’amour elle sent pour lui. 

Finalement je veux dire que la guerre c'est une situation où les personnes, peut-être, trouvent quels sentiments qui les peuvent changer. C'est normal que la gens ayant été dans la guerre ne soient pas les mêmes autre fois. C’est l’ironie de la vie, d'amour ou de la guerre, n’est pas ? Vous pouvez obtenir quelque chose mais seulement si vous laissez quel qu’autre.


Julio Cesar Velasquez Robayo

« Incendies » : De l’œuvre littéraire a l’œuvre cinématographique…

Comme l’objet d’un article s'éloigne de présenter un simple résume, je vous propose une posture critique devant au sujet en question: Incendies. À cet égard, le suivant article a comme finalité : exprimer le contraste (avantages et désavantages) que je perçois à partir des plusieurs formats dans lesquels je peux trouver l’œuvre: Incendies

Aucun personne dans le monde de la littérature, le ciné au le théâtre pourrait se soustraire aux multiples sensations provoquées pour l’œuvre Incendies en chaque un de ses formats. L’histoire central constitue un défi au bon gout, dans matière d’histoires que émouvaient à partir de la reconnaissance, ne seul de la situation sociopolitique des pays d’oriente dans le monde, sinon particulièrement des bords que suscitent la condition humain.

Oui, Incendies est témoin fidèle des sentiers extrêmes que parcourt l’âme humaine ; depuis l’amour qu’implique sacrifier l’existence vécu d’une mère, jusqu’a l’obscurité que habite le cœur du personne qui viol et tue sans remords. Cependant, dans le rencontre avec l’œuvre, je dois dire que sa choquant histoire perdre et obtienne divers nuances, à la lumière du format dans le quel cette est présentée.

Également, si le format cinématographique et la facilité de l’image recrée, permettent parcourir pendant deux heures une œuvre littéraire, que bien pourrait prendre un jour en se lire ; le film Incendies perdre des éléments extrêmement importants dans le cours de ca que l’auteur original a voulu exprimer. Il est, par exemple, du sacrifice que se fait d’un des personnages secondaires –et ne pour ca, moins important– : Sawda, amie de Nawal Marwan –personnage principal de l’histoire–.

A travers de ce personnage, Wajdi Mouawad exprime la transformation d’une femme : de la douceur et innocence, à la méchanceté, le ressentiment et la rancœur… Il est à travers de ce personnage que se expriment les traces de la guerre dans l’âme d’une femme (pour ne parler pas de son corps ; puisque dans l’œuvre littéraire, Sawda meurt comme kamikaze quand se fait part substantiel du conflit).

En effet, si l’intérêt de la littérature et du ciné est raconter histoires, pas seulement individuels sinon du monde que nous habitons, l’élimination du personnage de Sawda dans l’œuvre cinématographique se constitue en une mutilation du héritage sociocritique pour raconter (élément fondamental dans la compréhension de la guerre comme empreinte en l’histoire des cultures).

Finalement, je dois dire que je pourrais parler d’autres éléments vitaux dans l’histoire original et que manquent dans l’œuvre cinématographique, comme est le contraste entre la signification du nez de clown que Nawal lègue a son fils dans le moment de sa naissance, et l’interprétation que Nihad le donne à ce, dans le moment dont il est jugé dans le Tribunal de Justice International. Dans l’œuvre original, Nawal donne ce nez de clown à son fils comme un geste d’amour, pendant que Nihad, parle en sa déclaration à propos du ‘geste’ de cynisme et moquerie qu’il l’a confié à cet objet, au interpréter le comme tel, en absence de la mère qui se l’a donné.

Par fermer ce simple article critique sur l’œuvre littéraire en contraste avec l’œuvre cinématographique à partir de Incendies, je me permettrai ouvrir vôtres commentaires avec la confession exprimée de l’affection que j’ai pour les œuvres littéraires ; la quelle ne veut pas dire que je n’adore pas le ciné, puisque le ciné me semble une réalisation génial de la civilisation. Cependant, toujours je préférerai la sensualité, la rigueur, la beauté et l’enchantement avec les quels les écrivains avaient dessiné avec mots la tragédie humaine.

Luz González Villate


Les adversités de la guerre

Les adversités de la guerre

La histoire Incendie de Nawal écrite par Wajdi Mouawad en 2003, c'est un histoire très émouvante qui reflète une guerre incessante de religions en affectant à les plus faibles et innocentes. Incendie aussi est un histoire d'amour dont on peut voir l'amour inconditionnel et désintéressé d'une femme (Nawal) vers ses enfants. L'amour se reflète spécialement, celui qu'elle supporte à un dilemme, puisque son premier fils est aussi sa condamnation.

La situation que Nawal traverse est très compliquée et cela nous porte à une question: Est-ce possible pour Nawal de pardonner et d'être pardonné ? En premier lieu, par des circonstances de la destination, Nawal a été violé par son premier fils, Nihad, et les jumeaux ont été fruit de cette violation. En deuxième lieu, les jumeaux  se rendent compte de la vérité quand Nawal est mort.

Dans mon avis une violation est imperdonable, n'importe pas si cette violation se rend dans les temps de la paix ou de la guerre. Dans le livre on peut voir qu'à cause du ressentiment, la colère, la peine et la tristesse le pardon ne réussit pas, toutfois, les dernières volontés de Nawal s'accomplissent, le livre laisse beaucoup de choses inachevées, par example, qu'est-ce qui a passé avec Nihad quan il a su la vérité? les jumeaux ont pu pardonner sa mère et son bourreau?

Je crois que les jumeaux  n'ont pas pu pardonner sa mère, cependant, ils ont traversé par une étape d'acceptation et de résignation. En ce qui concerne à la situation de Nawal, elle n'a jamais pu se pardonner, mais aussi pardonner son fils parce que l'on voit la haine et la tristesse dans les lettres qu'elle a écrit à ses enfants et à son bourreau.

Finalement, pour pardonner quelqu'un et pour continuer en avant il est important de laisser tous les ressentiments et d'être disposés à oublier mais dans le livre on ne sont pas vues ces choses par aucun côté.



lundi 23 mars 2015

Nous sommes tous les victimes

L'histoire d'Incendies se développe dans un contexte de guerre dont origine est la rivalité entre le christianisme et le musulman. Guerres lesquelles on voit dans le livres d'histoire, mais que on le trouve dans nôs temps dont est plus importante défendre le sacré que le sacré de la vie. C'est dans cet contexte où on trouve Nawal, une jeune fille qui tombe amoureux de un réfugié et du lequel ils ont un bébé, né de l'amour, mais détesté pour les autres, pour une société biaisée par ceux qui croit savoir ça qui est bon ou mauvaise; c'est ainsi que Nawal est éloignée de son petit enfant et commence l'histoire de sa recherche pendant plusieurs années.
À la fin Nawal se rendre compte que son petit fils, lequel elle a cherche pendant plusieurs années, il a été son bourreau dans le prison où elle était emprisonnée. Elle a été violée plusieurs fois par son fils, par conséquence elle est tombée enceinte de jumeaux. Après de la morte de Nawal, les jumeaux trouvent son père- frère et lui envoyé des lettre ou Nawal lui dit tout la vérité  
Malgré d'être une ouvre théâtral, le viol est une réalité qui vivent les femmes dans le monde et surtout ici en Colombie. Pendant la guerre que nous avons eu les vrais victimes ont été les citoyens, paysans qui sont obligés de quitter leurs terres par le peur d'être tués par leurs bourreaux, on peut trouver beaucoup de bourreaux ici comme les FARC, les paramilitaires, la délinquance et les mêmes politiques. Dans un pays où le plus important est le bien-être individuel sur le bien-être collectif ça risque de violer les droits des autres. Donc il n'y a pas nécessité de s'alarmer avec une filme comme Incendies, il suffit de regarder autour pour trouver des histoires de haine  et de violence: femmes violées, enfants recrutés, massacres, un peuple incliné par leurs gouvernants et acculés par les armes. Dans un sens, nous sommes tous les produits de la violation et de l’haine, c’est pourquoi que nous suivons la spirale de la haine.


Incendies est une histoire touchante et ce que nous devrions prendre c’est l'amour de Nawal à leurs fils jumeaux et même à son fils-bourreau, est ainsi, nous un peuple consommés par la violence et la haine, nous pourrions apprendre à pardonner, parce que c’est la seule façon que nous allons atteindre une paix réelle.

samedi 21 mars 2015


Personne n'aime autant qu'une mère aime son enfant


En jouant avec les mots, les phrases, le langage cru et aussi le langage poétique on peut confirmer, grâce à cet livre, qu’il n’y a pas d’amour plus grand que l’amour d’une mère.
Une très belle pièce dramatique d'une puissance bouleversante qui raconte, depuis le point de vue de l’auteur, l'horreur de la guerre civile au Liban que se cache derrière les conséquences qu'elle aura entraînées dans la vie d'une femme (Nawal) qui a préféré de se taire et caché toute sa souffrance pour protéger ses petits jumeaux. Le silence a été comme un refuge où son doleur ne peut pas faire mal à ses enfants.
Je n'ai pas aimé au début mais l'intrigue est si riche, foisonnante que j’ai l'impression de voir, d'entendre un roman où la beauté et l'horreur, la haine et l'amour se confondent. La souffrance à laquelle une mère peut s’exposer pour éloigner ses enfants d’une vie pleine de tragédie, et des conflits politiques, sociaux et religieux qu’elle a vécu est incomparable.
Malgré toutes les mauvaises situations que Nawal a eu, situations pleines d’amour et de violence, elle était prête à démontre qu’une mère peut faire n’importe quoi pour trouver son enfant et lui donner une origine et un destin. Mais, aussi, son rôle a aidé à changer la manière comme la femme est vue au Moyen-Orient, parce qu’elle a été capable de bien penser la forme de lutter contre cette guerre sans devenir un bourreau, elle est encore une victime en train de faire justice pour son fils.


Bien qu’une guerre soit si grande pour torture les gens, prendre plusieurs vies, et détruire une ville, un pays, il y a une chose qu’il ne pourra jamais touché : l’amour d’une mère et l’envie d’offrir à ses enfants protection en faisant leur expérience de vie le plus tranquille possible, sans doleur… sans haine.



Ma Camila Achury.